vendredi 2 octobre 2009

Le 8 du 8 2008 : c’était il y plus d’un an

Vous me pardonnerez très certainement, chers lecteurs, de faire une seconde escale au pays du milieu, mais je ne pouvais me permettre d’aborder notre thématique hebdomadaire du sport sans faire mention des jeux olympiques de Beijing. C’était il y a plus d’un an déjà. Les passionnés se rappelleront les éblouissantes cérémonies d’ouverture et de clôture, je me souviendrai pour ma part du fantastique … site web.
Avant de faire part des ratés du site transactionnel de vente de billets en ligne, laissez-moi vous tracer les grandes lignes de la performance (entre le 1er juin et le 24 août 2008) du site officiel des Jeux Olympiques de Beijing. (http://beijing2008.cn) Rappelons que dans le cas des XXIXe olympiades, le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques de Pékin (BOCOG) a mis en ligne un site Internet officiel en chinois de même qu’en français et en anglais, les deux langues olympiques. La seule version chinoise a attiré en août, plus de 16 millions de visiteurs uniques. Une multitude de serveurs aura contribué à ce titre à un service de qualité, aucune lenteur d’accès et de chargement des pages n’ayant été décelées pendant la durée de l’étude sur les différentes versions. Au niveau de l’achalandage, le graphique ci-contre illustre la performance générale du site. Un premier pic s’observe à la mi-juillet et perdure jusqu’au début des jeux, le 8 août. L’intérêt des internautes s’essouffle à l’issue des compétitions de natation, mais reprend au lendemain de la finale du 100m qui a consacré Usain Bolt au titre d’homme le plus rapide du monde. Finalement, la popularité du site a atteint un deuxième sommet le 22 août alors qu’étaient disputées les finales des épreuves les plus appréciées.

Alors que le site web non transactionnel des Jeux Olympiques de 2008 a, au final, affiché une performance plus que respectable, son penchant commercial, dévolu à la vente de billets, a connu d’importantes ratées. Tout a commencé en octobre 2007, quelques heures à peine après la mise en vente officielle des billets. Environ 5 millions de sièges pouvaient trouver preneurs au sein de la population chinoise. Le système devant prendre en charge la vente a littéralement été dépassé devant l’affluence des internautes chinois. 8 millions de visites ont été enregistrées par heure, avec une moyenne de 200 000 demandes de billets par minute. Le système était configuré pour supporter un million de visites par heure et 150 000 demandes par minute. Suite à cet échec, le BOCOG a tenté de reconfigurer le système informatique, en vain. Ultimement, le comité a dû suspendre la vente en ligne de billets pour les citoyens chinois, lesquels ont dû se rabattre sur les guichets physiques.

L’expérience des Jeux Olympiques de 2008 souligne l’importance d’une prévision efficace des ventes, mais également sa complexité dans un pays où le web gagne en popularité à la seconde. Les historiques de vente ne suffisaient pas à l’estimation. Encore fallait-il prendre en considération, l’importance de l’événement au sein du peuple chinois, le climat politique en vigueur à ce moment et l’aura autour de la date d’ouverture des Jeux. Des données certes intangibles qui ont rendu ardu la tâche aux responsables du site. À l’approche des Jeux de Vancouver, je suis persuadée que les organisateurs canadiens auront appris de l’échec du site transactionnel chinois, du moins je l’espère.

Mais oublions tout ça et gardons en mémoire la beauté du ciel de Beijing pendant ces quelques jours … déjà un souvenir.

Liens d’intérêts :
http://www.generation-nt.com/s/jo+pekin+2008+internet+billets/?or
http://fr.beijing2008.cn/tickets/news/n214341574.shtml
http://www.paperblog.fr/1053564/beijing-2008-medaille-d-or-pour-le-site-officiel-des-jo-de-pekin/

mercredi 30 septembre 2009

Connaissez-vous Monabanq.?





Cette semaine, en effectuant mes recherches afin de dénicher un article intéressant sur le « e-banking » en Europe, je suis tombée par hasard sur le site web de la banque en ligne Monabanq. qui est, à mon avis, un site web assez différent de ceux des banques traditionnelles auxquels nous sommes habitués! Je vous explique…

Le portrait de Monabanq.

Monabanq. est une banque à 100% française, née en 1992 du rapprochement du groupe 3 SI (3 Suisses International) et de BNP Paribas Personal Finance (filiale du groupe BNP Paribas). Son siège social se situe en France, à Wasquehal.

Bien qu’à première vue on puisse douter du sérieux de la banque considérant les couleurs vives utilisées sur le site web ainsi que les nombreuses animations que l’on y retrouve, Monabanq. se définit comme une banque solide, disposant d’un capital propre de plus de 62 millions d’euros. Elle aurait réussi à attirer plus de 250 000 usagers à ce jour. Il s’agit d’une banque dédiée aux particuliers.

Quant à la cible, elle est principalement constituée des gens de 25 à 45 ans, à l’aise avec Internet. La stratégie de la banque pour les séduire ? Jouer à plein la carte de l’accompagnement, un message d’ailleurs décliné sur l’ensemble de sa campagne de communication. Côté client, chacun dispose, dans cet esprit, d’un conseiller attitré. Pour vous le démontrer, je vous propose de regarder le vidéoclip ci-dessous :



Pour tenter de convaincre les réticents à la banque en ligne, Monabanq. joue également sur l’amplitude de ses horaires d’ouverture. Les agences virtuelles, animées par 200 conseillers, ouvrent en effet de 8 à 22 heures en semaine et jusqu’à 20 heures le samedi.

Rendre la bourse accessible à tous…

La banque en ligne met également l’accent sur l’ensemble des services qu’elle propose. Ainsi, dans un contexte plutôt troublé, Monabanq. a décidé de miser sur la Bourse, avec des services dédiés créés fin 2007. « Seul un Français sur quatre spécule, affirme Guillaume Gozlan, directeur marketing et clients de la banque en ligne. Nous voulons les aider à franchir le pas. » Pour cela, 30 fonds présentés comme « stables et performants » ont été sélectionnés. Et Monabanq. innove également en formant ses clients par le biais de leçons envoyées deux fois par mois et complétées d’un quiz pour que le client évalue ses connaissances. Pour les curieux, vous pouvez retrouver plusieurs de ces vidéos sur Youtube.

Enfin, pour séduire et fidéliser sa clientèle, la banque en ligne fait également la promotion de ses autres services. Parmi eux, le coffre-fort numérique, la signature électronique ou encore le bordereau numérique, une solution permettant de créditer ses chèques instantanément, avant de les envoyer, en indiquant en ligne le montant et les références du paiement. Les relevés de compte et d’opérations de moins d'un an sont également consultables à tout moment.

Bref, je suis d’avis que les outils utilisés sur le site web Monabanq. sont très intéressants et innovateurs. Bien qu’en visitant les différentes pages web de Monabanq., je retrouvais certaines ressemblances avec le site d’Ingdirect, qui est un autre concept de banque en ligne que l’on retrouve au Canada, l’aspect « interaction avec l’usager » et le concept de vidéo en ligne pour assister le client est très intéressant.

Vous pouvez aller explorer le site web de Monabanq. à l’adresse suivante : http://www.monabanq.com/homepage.asp

Je vous invite à me donner vos commentaires et opinions concernant les services en ligne proposés par Monabanq.!!!


Les institutions financières à l’ère de Twitter




Twitter.comPhénomène grandissant depuis environ 2 ans, Twitter apporte une nouvelle façon de communiquer rapidement entre usagers.  Les institutions financières n’échappent pas à la vague et emboîtent le pas dans cette façon créative de se rapprocher de leurs différentes clientèles cibles, que ce soit les clients, les actionnaires, les médias et le public en général.



Début modeste des activités bancaires sur le web au Zimbabwe


Au cours des dernières années, le web a considérablement transformé l’industrie bancaire. En effet, il est devenu un outil indispensable pour améliorer l’efficacité des banques, leurs services à la clientèle ainsi que leurs méthodes d’attraction de nouveaux clients. De nos jours, il est beaucoup plus facile d’accéder aux services bancaires au Canada en utilisant Internet plutôt que de se rendre directement sur place. Cependant, qu’en est-il dans les pays d’Afrique? L’article suivant présente un aperçu des activités bancaires sur le web au Zimbabwe.

mardi 29 septembre 2009


Paperblog : Les meilleurs actualités issues des blogs

Il est venu le temps du portefeuille nouveau

Les Philippins ont de quoi se réjouir. À l’instar de leurs homologues asiatiques japonais, ils embrassent la culture mobile et utilisent désormais leur cellulaire en guise de portefeuille. Eh oui, adieu la traditionnelle bourse, bonjour le texto.

Around the e-world: utilisation et développement du e-commerce mondial